John Graham Mellor connu sous le pseudonyme de Joe Strummer (« Joe le gratteur ») né le 21 août 1952 à Ankara, mais aussi le leader du groupe The Clash, l’un des groupes les plus emblématiques du courant punk.
Assembly est une collection de chansons solo de Joe Strummer, chanteur et membre du légendaire groupe The Clash. On y retrouve des singles, des titres cultes, des raretés… Au total, 16 titres dont 3 versions inédites de titres de The Clash, « Junco Partner (Acoustic) » et les interprétations live de « Rudie Can’t Fail » et « I Fought The Law », ces deux dernières ayant été enregistrées par Joe Strummer & The Mescaleros à la Brixton Academy de Londres le 24 novembre 2001 : électrisant.Tous les morceaux ont été remasterisés par Paul Hicks (The Beatles, George Harrison, The Rolling Stones, John Lennon).
Les ‘liner notes’ sont écrites par Jakob Dylan.Pour tous les fans de Joe Strummer et des Clash, pour tous les amateurs de Rock
Joe Strummer meurt le 22 décembre 2002 dans sa maison de Broomfield dans le Somerset, victime d’une cardiopathie congénitale jamais diagnostiquée. Sa mort prématurée à l’âge de 50 ans a choqué et attristé une génération de fans pour qui il était une personnalité emblématique. Au moment de sa mort, Strummer travaille sur un autre album, qui sort finalement à titre posthume en octobre 2003 sous le titre Streetcore
Sortie de ce double disque vinyle le 26 mars 2021, à découvrir chez votre disquaire indépendant
Le Menahan Street Band a été créé par Thomas Brenneck en 2007. Il a fait appel à des amis issus de la scène new-yorkaise de funk, soul et afrobeat (la plupart membres de Antibalas, El Michels Affair, Sharon Jones and the Dap-Kings ou Budos Band). Le nom du groupe vient de la rue dans laquelle habitait Thomas Brenneck (Menahan St. à Bushwick, Brooklyn, New York).
Collaboration avec Charles Bradley
Le 24 janvier 2011 est sorti l’album de Charles Bradley No Time For Dreaming dont le Menahan Street Band assure la partie instrumentale. On retrouve notamment sur The Telephone Song la musique de Tired of Fighting issu du premier album du Menahan Street Band.
Collaboration avec Lee Fields
Menahan Street Band assure la partie instrumentale de Lee Fields sous le nom de scène The Expressions. Plusieurs albums sont déjà sortis en collaboration avec Lee Fields.
Véritable all-star de Brooklyn, The Menahan Street Band est un collectif qui couvre plusieurs années d’exploration musicale de par l’expérience de ses membres :Thomas Brenneck (The Budos Band, The Expressions, Los Yesterdays), Dave Guy (The Roots, The Dap-Kings, Late Night House Band), Nick Movshon (Lee Fields and the Expressions, The Black Keys, The Avalanches), Leon Michels (Big Crown Records, El Michels Affair, The Black Keys) et Homer Steinweiss (The Dap-Kings, Holy Hive, Lee Fields and the Expressions). Chacun apporte une approche unique aux compositions.
Le groupe comble le fossé entre jazz et soul. Leur musique a servi de fondation pour certains beat les plus réussis du hip-hop moderne. Leurs morceaux ont été samplés par le rappeur américain Eminem, Jay-Z, mais aussi par d’autres rappeurs comme Kendrick Lamar, Travis Scott, 50 Cent ou Curren$y, pour en citer quelques-uns.
Lorsque The Menahan Street Band est créé en 2007, chaque membre possède déjà une expérience solide. En tant que musiciens et fondateurs de divers projets chez Daptone Records, ils se sont découverts un amour commun pour le hip-hop et le rock’n’roll, ainsi que d’autres sous-genres excentriques qui les ont poussés à s’écarter des musiques soul et funk.
Leur volonté est de créer une musique au spectre plus large, englobant leurs influences et goûts éclectiques, leur polyvalence. Cela aboutit à la sortie de leur premier album, Make the Road by Walking, en 2008. En 2021, le groupe revient enfin avec The Exciting Sounds of Menahan Street Band.
Un troisième album révèle de nouvelles dimensions, dans le ton et le timbre, mais aussi dans les ambiances sonores et visuelles. L’univers développé par l’artiste Ariana Papademetropoulis pour l’artwork se marie parfaitement avec l’arsenal musical analogique utilisé pour la réalisation de l’album.
Retrouvez les fabuleux disques vinyles de ce groupe exceptionnel dans les bacs de votre disquaire indépendant dans la session Soul Music
En 2011, elle fait ses débuts sur scène en participant à des jam session en tant que chanteuse dans le groupe Tuff Love Groovy Therapy.
En 2015, elle sort son premier EP, The RED EP en indépendant. S’ensuivent alors plusieurs collaborations avec diverses artistes comme le producteur de tech-house Ohm Hourani ou encore le quintet Key Of Groove dont elle était membre.
En 2016, elle signe chez Ensoul Records. Son second album Nameless sort le 2 février 2018. Cet album s’inspire du texte The Hope and the Dream of Slave de Maya Angelou et plus particulièrement de son poème Still I Rise. « Nameless, c’est l’essence humaine au-delà de toutes les étiquettes, de toutes les identités » écrit Alain Brunet dans La Presse.
Le 22 février 2019, Dominique Fils-Aimé sort Stay Tuned!, deuxième album, après Nameless, d’une trilogie.
Après les tons minimalistes blues de Nameless (2017) et les chaudes couleurs jazz de Stay Tuned! (2019), la révélation soul jazz canadienne Dominique Fils-Aimé livre Three Little Words, le dernier chapitre d’une trilogie inspirée par les héritages de la musique afro-américaine qui explore la palette émotionnelle de la musique soul d’hier à aujourd’hui. Nommée au prix Polaris et lauréate des prix Félix 2019 et Juno 2020,
Dominique Fils-Aimé est une auteure, compositrice et interprète montréalaise qui s’inspire des icônes soul jazz telles que Billie Holiday, Etta James et Nina Simone et dont la voix transcende les paysages sonores urbains contemporains. Son nouvel album est imbibé de rêves devenus réalité et de légères brises d’été. Les échos d’un passé difficile retentissent toujours au creux de nos plaies mais nous guérissons et avançons maintenant ensemble; tel une seule âme déterminée. Séduisant mélange d’atmosphères et de grooves, son premier single « Love Take Over » évoque la chute de la suprématie masculine et la montée des forces féminines qui conduit vers un chemin de liberté. L’amour est la pierre angulaire de l’énergie qui nous unit tous et, dans cette nouvelle ère d’incertitude, l’unité est plus que jamais nécessaire.
L’émancipation émanant de »Love Take Over » rappelle les révolutions passées en musique comme en politique. Les mouvements de défense des droits civiques sont nés de l’acceptation et de la compassion, de l’apprentissage des autres. Oser nager à contre-courant, voilà l’inspiration de Dominique Fils-Aimé pour favoriser le changement et ouvrir de nouvelles perspectives. Three Little Words est un regard autocritique saisissant sur le changement sociétal qui rappelle que c’est l’égalité et l’amour qui nourrissent l’âme et nous incitent à faire mieux. Sur ce troisième album, l’amour et l’amour de soi forment le fil d’Ariane et la clé pour ouvrir le chemin de l’égalité.
Quelle chance elle est en tournée ( selon COVID 19 les dates peuvent être modifiées). A partir de Mars 2021
25/3 Maison Folie Beaulieu, Lomme (59) 27/3 Le Parvis – Scène Nationale, Ibos (65) 30/3 Théâtre des Pénitents, Montbrison (42) 31/3 Grand Théâtre, La Rochelle (17) 01/4 Culture Olympia, Arcachon (33) 02/4 Le Phare, Tournefeuille (31) 03/4 Le Jam, Montpellier (34) 07/4 Espace James Chambaud, Lons (64) 08/4 Théâtre des Feuillants, Dijon (21) 09/4 Carré d’Argent, Pontchateau (44) 10/4 Le Quai, Angers (49)
1. Grow Mama Grow 2. While We Wait 3. You Left Me 4. Could It Be 5. Being The Same 6. Mind Made Up 7. Fall and Al 8. Love Take Over 9. Tall Lion Down 10. Three Little Words 11. Home To Me 12. We Are Light 13. The Healing Song 14. Stand By Me
MF DOOM, de son vrai nom Daniel Dumile, il a la particularité d’avoir utilisé plusieurs noms de scène dans sa carrière comme MF DOOM, en référence au personnage de comics docteur Doom, Zev Love X (à ses débuts avec le groupe KMD), King Geedorah (en référence à la créature King Ghidorah), Metal Fingers (en tant que beatmaker), Viktor Vaughn (en référence au prénom de docteur Doom : Victor Von) ou encore DOOM.
Après la perte de son frère, Dumile sombre dans une grave dépression, et disparaît de la scène hip-hop pendant une période durant laquelle il vivra « dans les rues de Manhattan, dormant sur les bancs et dans la merde » comme il le raconte lui-même. Peu après cette période douloureuse, il quitte New York et part s’installer à Atlanta. À cette époque, il accorde des interviews, se faisant appeler DOOM, et déclare réenregistrer des chansons puis souhaiter prendre sa revanche contre l’industrie du disque qui l’avait détruit et déformé. Dumile s’est mis à boire et à se droguer durant cette période. Le projet Black Bastards refait surface, ouvrant une petite voie pour que Dumile se réinsère dans le milieu du hip-hop.
Véritable légende de l’underground new-yorkais, génie des samples et rappeur à la sensibilité exacerbée, MF Doom n’en finit pas de fasciner les aficionados d’un hip-hop créatif et différent.
Son album, MM..Food, confirme l’immense talent de l’homme au masque de fer : constructions ambitieuses, samples décalés, la touche MF Doom reste inimitable et reconnaissable dès la première écoute. MF Doom a convié pour l’occasion Madlib qui lui livre une production sur mesure ainsi que Count Bass D, autre figure emblématique d’un hip hop inventif et décomplexé.
MF DOOM meurt le 31 octobre 2020 à l’âge de 49 ans. Sa mort n’est annoncée publiquement que le 31 décembre 2020 par sa compagne Jasmine. Les causes du décès demeurent encore inconnues.
Référence majeure du rap, MF Doom n’avait pas sorti d’album solo depuis 2009
En 2021,un nouveau vinyle rose et vinyle vert dans une pochette tip-on gatefold incluant une carte de téléchargement sort et les prix s’enflamment sur des sites de ventes de disques !! on pourra remarquer que cette édition présenté se vend jusqu’à 400 euro !! spéculation ou erreur de prix ?
Vous trouverez le disque vinyle collector couleur de MF DOOM chez votre disquaire indépendant
Wewantsounds a le plaisir d’annoncer la réédition de l’album ultra rare de 1976 de Robert Cotter, «Missing You» en partenariat avec Robert Cotter lui-même. Initialement sorti sur le célèbre label Tiger Lily, l’album n’a jamais été correctement sorti à l’époque et la plupart des copies ont été détruites avant de pouvoir être vendues dans les magasins de disques. Les rares survivants commandent maintenant des prix déraisonnables. L’album, enregistré à New York entre 1975 et 76, est également le premier enregistrement de Chic – ou The Big Apple Band comme le groupe était connu, que Robert Cotter faisait à l’époque aux côtés de ses collègues musiciens Nile Rodgers, Bernard Edwards, Tony Thompson et Robert. Sabino. L’audio de l’album a été remasterisé et la réédition est livrée avec ses illustrations originales plus un insert de 2 pages avec des notes de doublure de Barbie Bertisch et Paul Raffaele de Love Injection racontant toute l’histoire.
« Missing You » de Robert Cotter, sorti en 1976 sur Tiger Lily, avait tous les ingrédients d’un album à succès: un chanteur et compositeur super talentueux, une série de superbes titres dont quelques singles potentiels et une équipe de musiciens incroyables dans le studio. Cependant, très peu d’exemplaires de «Missing You» survivent à ce jour. Non pas que l’album ne se soit pas bien vendu à l’époque, il ne s’est tout simplement pas vendu du tout. Aucun enregistrement n’a pu être trouvé dans les magasins et pour une bonne raison. Le label, Tiger Lily, une ramification de Morris Levy Roulette Records, était réputé une arnaque fiscale dont le but était essentiellement de perdre de l’argent. Le label n’a fonctionné que pendant quelques années et a disparu sans laisser de trace après avoir sorti une soixantaine d’albums.
Robert Cotter était actif depuis la fin des années 60, d’abord à Long Island où il a grandi en chantant à Church et avec son groupe de lycée, puis à New York où il a été embauché pour jouer dans le roadshow du hit de Broadway 1970 ‘Jesus Christ Superstar ». Quand cela prit fin, Robert retourna à New York où il fut présenté à deux jeunes musiciens en herbe, Nile Rodgers et Bernard Edwards. Ils avaient besoin d’un chanteur pour faire face à leur nouveau groupe, The Big Apple Band, qui comprenait également Robert Sabino aux touches et Tony Thompson à la batterie. Robert a rejoint et le groupe a joué pendant quelques années se faisant un nom dans la région de New York. Dans le processus Cotter a écrit quelques chansons qu’il a enregistrées avec deux groupes différents entre 1975 et 76: The Big Apple Band d’un côté et aussi avec des amis musiciens de son groupe précédent de l’autre, donnant à l’album sa grande polyvalence.
L’album propose un large éventail de styles, du funk de la chanson titre et de Disco Blues '' à la sensation acoustique soul de Three Wise Men » et au groove mi-tempo dirigé par le conga de « God Bless The Soulfire People » . Les morceaux présentent l’étonnante gamme de Cotter en tant que chanteur et aussi en tant que compositeur. Les deux morceaux du Big Apple Band, «Love Rite» et «Saturday», sont non seulement excellents, mais donnent également un aperçu de l’origine du son Chic. Ces chansons sont historiquement inestimables car les seuls enregistrements du groupe juste avant qu’il ne se transforme en Chic (Un remake de ‘Saturday’ deviendrait en fait un succès pour Norma Jean Wright deux ans plus tard produit par Rodgers / Edwards). L’album se termine par l’incroyable « Come On With It », une diatribe politiquement chargée contre Nixon avec un côté psychédélique plus sombre. Quand l’album a été pressé, Cotter a obtenu quelques copies et n’a jamais vraiment entendu de retour du label. Il a poursuivi sa carrière – en jouant et en enregistrant pour divers autres labels – et n’a jamais vraiment regardé en arrière sur son premier album.
Plus grand que la somme de ses parties, « Missing You » est un album unique et un classique bonifié qui obtient enfin la sortie qu’il mérite quarante-cinq ans plus tard. Wewantsounds est ravi de rééditer l’album dans sa gloire d’origine pour que tout le monde l’apprécie.
Ce disque en vente chez votre disquaire indépendant !! sortie le 9 Avril 2021.
Joseph d’Anvers sort son premier album intitulé Les choses en face qui inclut un duo avec l’artiste Miossec : La vie est une putain. Il s’agit d’un album folk réalisé par Jean-Louis Piérot et Joseph d’Anvers, enregistré aux Studios ICP (Bruxelles) .
Entre-temps, Alain Bashung le sollicite pour écrire une chanson pour son album Bleu Pétrole. Il lui écrit alors Tant de nuits. Il commence aussi à écrire pour Dick Rivers, et compose entièrement son album intitulé L’Homme sans âge qui sort en 2008. Il s’agit d’un nouveau style pour Dick Rivers qui apprécie « le génie de Joseph », qui est le premier auteur-compositeur à lui écrire l’intégralité d’un album en 47 ans de carrière. Joseph d’Anvers compose à la même période la musique du film de Christophe Otzenberger Au Bout de mon rêve.
Il est l’auteur de quatre albums parus depuis 2006, sur le label Atmosphériques. On y a vu défiler Darrell Thorp (Radiohead, Mc Cartney, Air..), Mario Caldato Jr (Beastie Boys, Beck…), Dominique A, Miossec, Vanessa Da Mata, Money Mark, Troy Von Balthazar, Lescop et bien d’autres. En parallèle, il a écrit pour de nombreux chanteurs et groupes (Alain Bashung, Day One, Dick Rivers, Françoise Hardy…) et collaboré avec des compagnies de théâtre et des productions films afin de composer des bandes originales.
En 2019, il créé la société Doppelgänger et produit désormais ses différents projets. Puisque Doppelgänger évoque »le double » dans la mythologie nordique, la trajectoire de ce nouvel album traverse des territoires multiples, électriques et sensuels : paysages synthétiques, mélancolie contemporaine, sunset californien, iridescencesurbaines…
En janvier 2020, il sort un nouveau roman, Juste une balle perdue, aux éditions Rivages. La presse, du Monde au Figaro, du Parisien à Lire, de Elle à France Inter, parle d’un « roman incandescent », d’une « histoire à la beauté convulsive » ou encore d’un roman « moderne et sexy, porté par une prose électrique ». Il est nommé à plusieurs prix littéraires.
Il compose en parallèle la BO de la pièce de théâtre « Jellyfish », écrite par Loo Hui Phang et mise en scène par Jean François Auguste. Une bande son électro, d’inspiration lynchienne, qui permet à Joseph d’Anvers d’explorer d’autres territoires et d’enrichir sa palette de sons.
Pour la première fois depuis « Les jours sauvages », Joseph est crédité comme musicien et beat maker. Il y joue de la guitare, de la basse, des claviers, du piano, programme, créé des montages sonores etc… Cet album, plus électro et cinématographique que ses précédents, est certainement son plus ambitieux et marque le départ sa nouvelle vie d’artiste-producteur.
Joseph d’Anvers chef opérateur crée des lumières sonores, installe des climats mélodiques, entre stridences rock et horizons hédonistes, une palette aussi éclectique que cohérente. Joseph d’Anvers boxeur insuffle ses pulsations électro, ses arythmies étonnantes, ses accélérations vertigineuses.
Joseph d’Anvers romancier nous délivre mille et une histoires teintées de romantisme, de noirceur, d’innocence. Autant de récits échappés de ses fictions intimes, intarissables.
Car les doubles, les revers cachés, les visions multiples sont les thèmes déclinés dans ce nouvel opus, tel une constellation de fictions musicales. Doppelgänger est une traversée des mondes, un kaléidoscope doux et fulgurant, riche de ses multiples vies, où Joseph d’Anvers nous guide dans une maîtrise virtuose des sonorités…
Ce nouvel album est disponible en version CD ou en vinyle que vous trouverez chez votre disquaire indépendant
Lee Fields de son vrai nom Elmer Lee Fields est un artiste soul américain né en 1951 en Caroline du Nord, parfois surnommé « Little JB » pour sa ressemblance physique et vocale avec James Brown.
Au cours de ses prolifiques années de carrière il a été en tournée avec des figures de la soul et du RnB comme Kool and the Gang, Hip-Huggers, O.V. Wright, Darrell Banks, and Little Royal.
Fraîchement sorti des coffres de Desco Records et remasterisé pour la première fois depuis sa sortie en 1998, Daptone Records a l’honneur d’annoncer la réédition sur vinyle de l’un des plus beaux disques de ces 40 dernières années à l’occasion du Disquaire Day 2020.
Un album qui n’a plus vraiment besoin d’être présenté… on parle ici de soul à l’état brut et de funk puissant, chanté avec aplomb par l’un des meilleurs représentants du genre… le classique de Lee Fields, Let’s Get a Groove On ! Vous allez groover sur cette supernova soul sans équivalent. Vinyle splatted Transparent Vert que vous trouverez chez votre disquaire indépendant
Vous connaissez le Disquaire Day ? Le Disquaire Day est « normalement » une journée de soutien aux Disquaires Indépendants ! Cette journée nous arrive tout droit des États Unis.
Le premier Record Store Day a eu lieu le 19 avril 2008 aux Etats Unis, le Record Store Day a été conçu en 2007 lors d’un rassemblement de propriétaires de disquaires indépendants et d’employés afin de célébrer et de faire connaître la culture unique entourant près de 1400 disquaires indépendants aux États-Unis et des milliers de magasins similaires dans le monde.
Lors de la première « Record Sore Day » ou « Disquaire Day » en français, le groupe mythique de hard rock Metallica, a passé des heures à Rasputin Music à San Francisco à rencontrer ses fans et maintenant chaque année des centaines d’artistes, de renommée internationale et du quartier, affluent vers les magasins de disques du monde entier pour des performances, des signatures, des rencontres et des salutations. pour remplir leurs propres sacs avec de la musique.
En 2009, Jesse « Boots Electric » Hughes (Eagles of Death Metal) s’est proclamé « Record Store Day Ambassador » comme une façon de crier l’importance des magasins pour les artistes et depuis Joshua Homme (Eagles of Death Metal, Them Crooked Vultures, Queens of the Stone Age), Ozzy Osbourne, Iggy Pop, Jack White, Chuck D, Dave Grohl, Metallica, St. Vincent, Run The Jewels, Pearl Jam et Brandi Carlile ont porté la ceinture de cérémonie.
L’ambassadeur du Record Store Day pour 2021 sera bientôt annoncé! Au cours de ses 13 ans, des villes des États-Unis, notamment New York, Los Angeles, Boise, Charleston, Raleigh et Las Vegas, ont déclaré le Record Store Day comme jour férié.
En 2013, le co-fondateur Michael Kurtz a été nommé Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres en France, honorant la contribution du Record Store Day à la vie culturelle et artistique des Français.
Cette même année, les organisateurs du Record Store Day ont accepté le Independent Spirit Award de NARM (maintenant la Music Biz Association). En 2015, Record Store Day a été nommé allié du marché de l’année par A2IM, une organisation de labels de musique indépendants.
Bien qu’il n’y ait qu’un seul Record Store Day par an, l’organisation travaille avec des labels indépendants et majeurs tout au long de l’année pour créer des concours, des sorties spéciales et des promotions afin de mettre en évidence les avantages de soutenir ces magasins indépendants et locaux avec des achats de musique tout au long de l’année. .
En 2010, Record Store Day a coordonné son premier événement RSD Black Friday, qui donne aux disquaires des sorties exclusives dans le cadre de la tentative de réorienter l’attention de la plus grande journée de shopping de l’année vers les choses spéciales désirables à trouver dans les magasins locaux.
En 2016, Record Store Day a créé Summer Camp, une conférence consacrée au métier unique qu’est le disquaire indépendant. La conférence permet aux propriétaires et au personnel de disquaires de se rencontrer et d’interagir avec les labels, la distribution, les vendeurs et toute personne dont le travail les place dans l’orbite d’un disquaire.
En 2017, Record Store Day a été partenaire fondateur de la conférence Making Vinyl, qui rassemble les entreprises et les individus responsables de la résurgence du vinyle en cours.
En 2020, en raison de la pandémie mondiale qui a touché les magasins de disques du monde entier, Record Store Day s’est transformé en trois dates de RSD Drops – 29 août, 26 septembre et 24 octobre – et 4 dates pour la France, et a divisé la liste officielle des sorties entre elles. L’accent n’était pas mis sur les fêtes et les spectacles, mais sur la célébration du confort, de la joie et du plaisir qu’ils apportent à leurs clients à travers ce qu’ils vendent. Même pendant une pandémie, les disquaires se sont révélés essentiels à leur communauté.
Le Record Store Day 2021 est prévu le 12 juin.
Le Disquaire Day (Record Store Day), est pour certains l’occasion de dénicher des perles rares !! pour d’autres c’est juste une machine à fric ou les prix de certaines références explosent, mettant en péril les « petits disquaires », car beaucoup de ces produits se retrouvent quelques jours après sur des plateformes ou centres commerciaux, à des prix défiant toute concurrence, faisant passer les disquaires indépendants pour des voleurs !..
Le Record Store Day, version française est organisée par le CALIF (Club Action des Labels et des Disquaires Indépendants Français) est une association loi 1901 créée à l’initiative de plusieurs labels et distributeurs indépendants phonographiques français et subventionnée principalement par le Ministère de la Culture, mais pas par des disquaires indépendants !!
Depuis sa création en 2002, le CALIF inscrit son action dans la diversité musicale et le maintien des commerces culturels de proximité. Sa mission principale consiste à aider les disquaires indépendants, tant par la création de nouveaux magasins que par le maintien de points de vente existants.
2021,suite à l’absorption du CALIF par le Centre National de la Musique, cette nouvelle association a été créée par les fondateurs de l’édition française pour reprendre dorénavant l’organisation du Disquaire Day. Malheureusement pour les disquaires indépendants français, c’est le début de la fin !. Les disquaires ne sont pas impliqués réellement dans cette affaire, ils sont juste là pour acheter et continuer à faire tourner la machine à fric qui se cache derrière. Les petits artistes n’y sont pas conviés, certains disquaires sont même rejetés !!
Des disquaires boycottent de plus en plus le Disquaire Day ! c’est sur le Gonzai ou on peut lire ceci :
Derrière l’idée de cet article se cache une vraie problématique : le Disquaire Day, instauré en France en 2011 grâce au CALIF (Club Action des Labels Indépendants Français), fait débat. Certains magasins évoquent que l’esprit originel de l’évènement, c’est-à-dire promouvoir les disquaires indépendants et les labels indépendants, s’est estompé. Les majors ont pris le dessus et le « Dday » s’est institutionnalisé : les disques sont chers et on y retrouve des artistes bien loin de l’esprit indé de départ (Johnny Halliday, Mylène Farmer, tous les ans il y a au moins un Bowie). Le hic, c’est que malgré ça, les boutiques profitent de l’engouement autour de cette journée pour faire parfois le meilleur chiffre de l’année. « Si je ne le fais pas, je me tire une balle dans le pied, avoue l’un deux, avant d’enchaîner : il y plein de choses à redire sur l’évènement, mais je ne peux pas ne pas le faire. » Beaucoup se sentent donc obligés d’y participer. D’autres, (et ils sont peu nombreux) décident de ne pas jouer le jeu. Enfin, presque…
Superfly Records, 3eme arrondissement: Il y a du monde. Une dizaine de personnes sont dans le magasin, qui est spécialisé dans la musique jazz, afro, soul, funk et latin. L’ambiance est studieuse : plusieurs écoutent sur les platines disponibles, d’autres farfouillent dans les bacs disposés au sol. Manu Boubli, co-gérant de la boutique, attaque d’emblée : « On a dit stop l’année dernière et on ne le fait plus. Pourquoi ? Parce qu’on se retrouvait plus dans l’esprit de l’évènement. » Il n’était pas contre intégrer les majors, mais aurait aimé que ça se passe plus intelligemment. Là, les usines sont saturées et il reçoit des mails qui l’informent du retard de certains disques indés parce que les usines pressent en priorité ceux pour le Disquaire Day. Mais ce qu’il déplore le plus, c’est le manque de collaboration entre la CALIF et les disquaires. « À la fin de l’évènement, on te demande de remplir un formulaire et tu peux faire des retours. C’est bien, sauf qu’ils n’ont jamais pris en compte nos remarques. »
A quand un « VRAI » Disquaire Day Français organisé par des disquaires indépendants et non des personnes qui sont là pour faire tourner leur entreprise avec des prix débiles ? réponse : c’est en cours, des disquaires indépendants travaillent sur un vrai projet avec une vrai promotion d’artistes, des disques rares collectors, et non des rééditions bidons à des prix irraisonnables.
Comme dans la série Dallas, attendons un nouvel épisode…..
Sur les traces de Erkin Koray, guitariste virtuose turc, le Jimi Hendrix oriental, Altın Gün signifiant âge d’or en turc, est un groupe de musique néerlandais originaire d’Amsterdam. Il s’agit d’un groupe de rock et de folk psychédélique qui s’inspire de la musique moderne turque des années 1960-1970, alliant rock occidental et musique traditionnelle turque.
En mai 2017, Altın Gün publie son premier single sur le label suisse Bongo Joe1. Le groupe se produit en décembre de la même année aux Rencontres trans musicales de Rennes, où il reçoit un accueil enthousiaste. Le premier album sort dans la foulée.
En avril 2019, sort le deuxième album du groupe, Gece, aux tonalités plus folk que le premier, mais obtient un joli succès chez les disquaires indépendants.
2021, Altin Gün revient avec un sublime album qui élargit son exploration du rock anatolien et du psyché turque avec des excursions synth-pop 80s rêveuses. Yol (« Route » en turc), ce troisième album dévoile une nouvelle palette sonore riche en surprises.
Il présente un son texturé et avant-pop, à l’image du premier single « Ordunun Dereleri ». Mystérieux et atmosphérique, le morceau marque l’évolution du groupe, entraînant l’auditeur dans un monde sonore qui résonne aux rythmes des beats électro down-tempo et des synthés majestueux. Cet album a connu une approche différente des deux premiers pour sa conception et son enregistrement car chaque membre était coincé à la maison pendant trois mois et devait ajouter ses parties à distance.
Yol affiche un ton rêveur, peut-être né de ce temps forcé à l’introspection. On y trouve également des éléments synth-pop des années 80. Ce nouveau paysage musical a été nourri par les choix d’instruments, à savoir l’Omnichord ainsi que la boite à rythme.
C’est une première pour Altin Gün qui enregistrait toujours sur bandes avec son propre ingénieur du son. On retrouve la veine psyché anatolienne groovy mais on découvre également des influences brésiliennes, du reggae cosmique et des grooves disco. Avec Yol, Altin Gün a breveté son processus magique de réimagination et de recherche sonore !
Fouillez dans les bacs de votre disquaire indépendant, vous y dénicherez ce joli disque vinyle
Nouveau disque vinyle et CD pour les fans de blues avec l’indomptable Little Bob Blues Bastards, avec We Need Hope, le retour aux sources du Blues Rock…
Little Bob Story, indissolublement lié à la personnalité de son chanteur italien Roberto Piazza, est un groupe de rock’n’roll, et un des rares groupes français à avoir obtenu une reconnaissance au Royaume-Uni. En 1976, les rockers havrais signent chez Chiswick Records et profitent de l’explosion de la vague punk.
Quand on s’appelle LITTLE BOB, après 45 ans de carrière, 23 disques au compteur, et des milliers de concerts, on ne retourne pas en studio juste pour enregistrer un nouveau disque….
Ce nouveau disque est un cri d’espoir, celui d’un homme qui a perdu Mimie l’amour de sa vie, mais hurle son amour de la vie. Ses chansons sont des portes ouvertes sur la révolte, l’amour, la lutte, l’amitié…
Elles nous réveillent et nous secouent en pleine crise sanitaire, tous enfermés derrière nos masques, et nous redonnent envie d’avenir.
Son instrument c’est sa voix, et Bob chante le blues de l’homme seul et le rock’n roll sauvage du rebelle. Il est comme le partisan, dans sa reprise bluesy de « Bellaciao », celui qui se battra toujours pour la liberté !
Avec son gang de BLUES BASTARDS électriques, il nous tire vers le haut, là où on respire mieux…WE NEED HOPE ! Oui, Little Bob, on a tous besoin d’espoir, et de disques comme celui-ci !
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